Les oxymores du week-end
941. Une tendresse vénéneuse
942. Un ennui voluptueux
943. Une voyoucratie élitiste
944. Un yuppie retraité
945. Un exotisme indigène
L’oxymore de la semaine : dans le supplément littéraire du quotidien LE MONDE d’hier, l’écrivain mexicain Jordi Soler dit de son dernier roman “La Fête de l’Ours” qu’il “est écrit comme un conte de fées noir” (LE MONDE DES LIVRES, 01.04.11, page 3).
P.S.: certains d’entres-vous se seront dit que “Jordi” n’est pas du tout un prénom mexicain, mais le plus catalan des prénoms catalans. Saint Jordi n’est-il pas le saint de la Catalogne. Jordi Soler est né en 1963 dans l’une des communautés républicaines catalanes réfugiées au Mexique durant la Guerre Civile d’Espagne et le franquisme.
Les oxymores du dimanche
711. Un printemps hivernal
712. Une fadeur écarlate
713. Une vivifiante détresse
714. De jeunes centenaires
715. Les arts mécaniques
Un oxymore – ou oxymoron – est une figure de style qui juxtapose deux mots en apparence opposés.
Par exemple, un clair obscur ou un plat aigre doux. Chaque dimanche, découvrez cinq oxymores de Mark Raison.