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Devenir riche (très vite) selon Seth Godin

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Voici les dix recommandations de Seth Godin, auteur de plusieurs best-sellers en marketing, dont “Viral Marketing” et “Tribes”. Oui, devenez riche, très riche, très vite.

P.S.: ce n’est pas une affaire de $$$. Never!

Semaine contre les créativicides du 5 au 11 mai

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La semaine prochaine sera la Semaine de lutte contre les créativicides. Imprimez vos deux posters de formant A4 en cliquant ici et  ici , ou encore en clicquant directement sur les photos ci-dessous.

Et affichez-les dans votre bureau !

Poster-8-mai-blanc Poster-8-mai-jaune

Les Oxymores de la Semaine

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Oxymores 1621 à 1625.

Un oxymore est une figure de style dans laquelle deux termes radicalement opposés l’un à l’autre, inconciliables, sont réunis. Pour Alain Rey, c’est “l’ingénieuse alliance de mots contradictoires”. Par exemple, une erreur géniale ou un étonnement programmé. Rimbaud fit de nombreuses trouvailles oxymoriques : des “splendeurs invisibles” et la “raison merveilleuse”. Ecrire des oxymores est un exercice de créativité qui invite à dialoguer avec le réel et l’impossible. L’un de mes oxymores préférés : un impossible réaliste. Chaque week-end, découvrez ici cinq oxymores de mon cru.

1621. Une douleur insensible

1622. Un blocage libérateur

1623. Des économies coûteuses

1624. Une avancée rétrograde

1625. Une simplification compliquée

L’oxymore de la presse : des illustres incognitos

Le quotidien suisse LE TEMPS, à propos du Prix Nobel de Littérature colombien Garcia Marquez qui vient de décédé : “Genève, ville où il a séjourné et qu’il décrit comme la ville des illustres incognitos, et dont il a contribué à assurer le rayonnement mondial”.

Source : LE TEMPS, Courrier des lecteurs, 22.04.14, page 10

Hôtel Palafitte : l’inspiration sur pilotis

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Il est des lieux charNeuchatel--Hotel-Palafitte-22-et-23-04-14-Tag-Heuer-050gés d’inspiration. L’Hôtel Palafitte est l’un de ses endroits où il fait bon prendre son temps pour rechercher de nouvelles idées et imaginer un avenir différent et ambitieux.

Installées sur pilotis sur le lac de Neuchâtel en face des Alpes, par beau temps la Jungfrau et le Mont-Blanc concourent au grandiose spectacle, cet hôtel invite par tous ses aspects à la rêverie productive. Y écrire, y brainstormer, y prendre de la hauteur ou y réinventer le monde avec des amis ou collègues est naturel ici.

L’appel à la créativité y est d’autant plus fort que cette structure sur pilotis a été créée à l’occasion de la grande Exposition Suisse de 2002, expression de l’inventivité contemporaine helvétique. L’Hôtel Palafitte est la seule survivance de cet événement national.

Photo prise par Mark Raison à Neufchâtel ce 22 avril 2014.

 

 

“Le 1” : Paradigme audacieux pour un nouvel hebdomadaire

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Le 1La semaine passée, un nouvel hebdomadaire a fait son apparition dans le paysage médiatique français : « Le 1 ». Plus qu’un nouveau titre, « Le 1 » est une révolution éditoriale. Pas moins de dix originalités en font un nouveau paradigme dans le monde de la presse.

Son format : un vrai A4, ce qui est plutôt atypique.

Son nombre de page : une seule ! Pliée trois fois, ce qui en fait une feuille plus grande qu’un A1.

Son prix : 2,80 € qui est largement en dessous de celui d’autres hebdomadaires français, par exemple c’est un euro de moins que le Nouvel Observateur.

Son équipe rédactionnelle : quelques journalistes et de nombreuses plumes extérieures célèbres.

Son contenu : un seul et unique thème par numéro ! Le numéro de cette semaine est consacré à « Poutine, cet homme que nous aimons tant haïr ».

Sa cover : pas de photo ou de titre racoleurs. Ici, il y a six ou sept entrées avec du texte, du contenu et éventuellement une infographie.

La publicité : aucune ! Le 1 cherche son équilibre économique avec 30.000 lecteurs.

L’iconographie : des dessins, des illustrations, des cartes, des caricatures, plutôt que des photos d’agence qu’on retrouve partout.

L’éditorial : aucun, si ce n’est un « Chose entendue par Eric Fattorino », le fondateur et directeur de publication du « Le 1 ».

La signature : chaque article se termine par un mini logo de l’hedomadaire. Sympa et fort marqueur d’identité.

Voici dix éléments qui font de ce nouvel hebdo une vraie innovation de presse. Souhaitons longue vie à ce média qui se veut d’être lu en moins d’une heure. Rendez-vous chaque mercredi dans votre kiosque préféré.