Archives
365 Jours de Créativité (116/365) – Le plus cher au monde !
La créativité cela se pratique au quotidien. Elle s’entraîne, se développe. Il est bon de faire ses gammes régulièrement ! Chaque jour de l’année, découvrez un exercice, un jeu ou une proposition de créativité qui vous permettront de vivre votre créativité autrement. Voici la 115ème proposition créative : Le plus cher au monde !
Le BAR HEMINGWAY de l’Hôtel Ritz situé Place Vendôme à Paris offre – le mot offrir est un euphémisme – un cocktail, le SIDECAR, qui est considéré comme étant le plus cher au monde. Le SIDECAR est composé de cognac cuvée 1865, de Cointreau et de jus de citron.
Il vous est offert à 1.500,- euros le verre ! Santé ! A ce prix-là : « Excellente santé ! ».
Et si vous cherchiez à imaginer ce que pourrait être le produit ou le service le plus cher dans votre domaine d’activité ? Soyez fou. Délire permis !
Exemple personnel
Durant près de vingt ans, j’ai fait du saut en hauteur au ROYAL RACING DE BRUXELLES. Les sauteurs en hauteur utilisent une chaussure spéciale pour leur pied d’appui. Renforcée au talon, elle comporte aussi des « spikes » à l’avant et à l’arrière. Comme athlète, je ne les ai jamais trouvées confortables ni très esthétiques. Depuis lors des progrès notables ont été opérés.
Toutefois, je me demande toujours à quoi pourrait ressembler la chaussure de saut en hauteur la plus cher du monde : et si on ne se privait de rien, d’absolument rien, pour donner le maximum de confort et permettre la meilleure performance possible au sauteur.
J’aimerais bien créer cette chaussure de saut de demain avec un grand équipementier sportif.
P.S. : les records du monde masculin et féminin sont bloqués depuis 1993 à 2m45 (le cubain Xavier Sotomayor) et 1987 à 2m09 (la Bulgare Stefka Kostadinova). Peut-être faudrait-il que les sauteurs d’aujourd’hui trouvent chaussure à leur pied !
Inspirez-vous sur notre page FaceBook !
Les fous, les fanatiques et les sages
365 Jours de Créativité (115/365) – C’est sûr, ça va bien se passer !
La créativité cela se pratique au quotidien. Elle s’entraîne, se développe. Il est bon de faire ses gammes régulièrement ! Chaque jour de l’année, découvrez un exercice, un jeu ou une proposition de créativité qui vous permettront de vivre votre créativité autrement. Voici la115ème proposition créative : C’est sûr, ça va bien se passer !
La devise de l’atelier de l’artiste et photographe français JR, mondialement connu pour ses collages photographiques géants, est « Ca va bien se passer ».
C’est une force inestimable pour un artiste que d’avoir cette croyance positive. Elle empêche de fantasmer, d’imaginer le pire, de gamberger. C’est un fabuleux remède à la procrastination.
Dès lors, osons-le « ça va bien se passer » dans nos travaux créatifs ! Une présentation à préparer ? Ca va bien se passer ! Un projet à lancer ? Ca va bien se passer ! Un changement de carrière à initier ? Ca va bien se passer ! Une décision de vie à prendre ? Ca va bien se passer !
Cela ne signifie pas qu’il ne faille pas prendre le temps de l’analyse, de peser le pour et le contre, de s’informer le mieux possible. Non, il s’agit d’un a priori existentiel : en général, les choses se passent bien dans la vie.
Une question : au cours des six derniers mois, combien de choses dépendant vraiment de vous, se sont-elles mal déroulées ? Une ? Deux ? C’est peu, très peu, par rapport au nombre de choses que vous avez probablement entreprises et menées à bon port.
P.S. : des études psycho-médicales ont démontré que les patients qui entraient à l’hôpital en se disant que cela allait bien se passer avaient un taux de succès à leur opération supérieur aux malades qui étaient convaincus que cela mal se dérouler. Il doit probablement en être de même avec les étudiants : ceux qui entrent confiants dans la salle d’examen ont plus de chance de réussite que ceux qui se font un sang d’encre et doute de leurs connaissances.
Exemple personnel
Très souvent quand j’ai un projet d’écriture, le sentiment que je n’ai rien à raconter sur le sujet m’envahit. Au lieu de me laisser déborder par cette émotion désagrable, j’aime à me mettre immédiatement à ma table de travail, d’attraper mon carnet à idées ou mon McBook et d’écrire sans réfléchir – c’est le secret : sans réfléchir – tout ce qui me passe par l’esprit. Et une fois l’esprit mis en marche, il associe les idées les unes aux autres.
L’important, c’est de se lancer, non de fantasmer, ni de ruminer.
Inspirez-vous sur notre page FaceBook !
365 Jours de Créativité (114/365) – Les trois dimensions du succès
Dans son livre BORN FOR THIS, Chris Guillebau met en avant trois dimensions essentielles pour avoir du succès dans sa vie professionnelle.
Le FLUX (“flow”), ce que vous faites vraiment bien, là où vous excellez.
La JOIE (“joy”), ce que vous aimez vraiment faire, ce qui vous plait profondément.
L’ARGENT (“money”), ce qui paie vos factures, ce qui vous rémunère.
Difficile d’être heureux si on gagne beaucoup d’argent pour un travail qui ne vous rend pas heureux.
De même, quelle tristesse que d’avoir un travail qui vous enchante du matin au soir et du soir au matin, travail dans lequel vous excellez et pour lequel votre savoir-faire est reconnu et apprécié, mais pour lequel vous êtes mal récompensé financièrement.
Difficile de ne pas souffrir du syndrome de l’imposteur si vous êtres très bien payé pour un travail que vous faites plutôt mal, pour lequel vous n’êtes pas vraiment qualifié, même s’il vous plait beaucoup.
Le vrai succès professionnel est dans la rencontre des trois dimensions : aimer ce que l’on fait, le faire avec un souci d’excellence et être payé en conséquence.
Exemple personnel
C’est un travail à plein temps que de chercher à se faire rencontrer les trois dimensions. Dans la vie professionnelle il y a des hauts et des bas dans chacune des dimensions, heureusement rarement des bas simultanément dans les trois.
Il y a des périodes de sa vie au cours desquelles il faut se rechercher de nouvelles motivations, au cours desquelles il convient de découvrir une nouvelle fraîcheur et spontanéité.
Il y a d’autres moments où il convient de se reformer, d’acquérir de nouvelles compétences et d’apprendre de nouvelles choses.
Et puis, malheureusement, il arrive que son “business model” s’épuise, qu’il faille le réinventer ou l’abandonner pour inventer une nouvelle manière de valoriser son travail.
Quand on est entrepreneur, probablement que l’on ressent plus fort qu’un salarié. C’est aussi cela qui rend la vie palpitante. Les longs fleuves tranquilles ne sont pas les plus excitants.
A lire : GUILLEBAU Chris, Born for this, 2016.
Ma TED Université Eté 2017 en congé jusqu’au 17 août
“Ma TED Université Eté 2017” prend cinq jours de congé en Cerdanya, la Basse-Cerdanie situé dans les Pyrénées catalanes, juste à l’est d’Andorre.
Ce jeudi 17 août, elle reprendra ses activités quotidiennes, avec la mise en ligne d’une vidéo TED commentée par Mark Raison.